Episode 28

Jeudi 22 décembre 1964

L’aveu 

La jalousie malsaine de George Anderson a provoqué chez sa femme Julie un geste terrifiant, et maintenant un appel désespéré au secours depuis cette maison où les liens familiaux viennent de se briser.

Des nuages. Immeubles du centre-ville de Peyton Place. 


Julie, paniquée, est au téléphone avec l’hôpital. George gît non loin d’elle. « Aidez-moi s’il vous plait. Passez-moi Rossi, le docteur Michael Rossi. S’il vous plait, faites vite. C’est une urgence. S’il vous plait, vous devez le joindre. »


Au salon des Mackenzie, Michael parle avec Constance de la Nouvelle-Angleterre et de la cuisson des calamars frits. Constance révèle que dans cette région, ils rajoutent des tomates. « J’aime bien les calamars frits, mais mon cœur appartient à celle qui les a cuisinées. », répond Michael.

Constance semble sur la défensive. Le médecin lui demande pourquoi parfois elle est distante avec lui. Elle lui dit que beaucoup de choses tournent dans sa tête actuellement, et surtout l’éventuel retour d’Elliot Carson. « Mike, il y a tant de choses que vous ignorez de Peyton Place. ». Le médecin sourit à Constance : « Je ne demande qu’à les connaître. »

Le téléphone sonne et Constance répond. Elle tend le combiné à Michael. On lui dit qu’il est appelé d’urgence chez les Anderson. Michael appelle alors Julie pour lui dire qu’il sera là d’un moment à l’autre. 

Constance s’inquiète : « Est-ce que George a encore battu Julie ? ». Elle est surprise d’apprendre que c’est en réalité le contraire. Allison rentre à la maison au moment même où Michael s’en va. Il lui demande si le film qu’elle a vu été bien, sans attendre la réponse.

Seule avec sa mère, Allison lui demande si elle est amoureuse du docteur Rossi. Comme souvent, Constance élude la question.


À l’hôpital, Michael examine les yeux de George Anderson avec un appareil ultra performant (pour l’époque). Il demande à l’infirmière d’emmener George en radiologie, puis donne d’autres ordres. Cependant, le docteur Fielding, qui assiste Rossi, se souvient que le médecin a été suspendu. Il informe Michael qu’il a prévenu le docteur Morton et que ce dernier lui a dit que Rossi n’est pas apte à traiter le patient.

Michael quitte les urgences et va parler à Julie, afin de lui dire que George n’a rien de cassé. Il s’inquiète plutôt pour elle. George va passer la nuit à l’hôpital et Julie devrait aller chez Constance.

Après avoir quitté Julie, le médecin rencontre le docteur Morton et ils se disputent. Morton insiste sur le fait qu’il ne peut pas traiter de patients à l’hôpital. 

Michael se met en colère : « J’ai admis mon patient ici parce qu’il avait besoin de soins médicaux immédiats. C’était le seul hôpital disponible. Et pour votre information, je le referais si nécessaire. » 

Morton ne lâche la pas bride : « Pour votre information, c’est moi qui assume dorénavant la responsabilité de la santé de George Anderson. Tant qu’il sera dans cet hôpital, docteur, vous n’avez aucun droit sur lui. Je suis sûr que vous ne voulez pas remettre en question mon autorité. »

Le Dr Rossi demande à Morton ce qu’il risque de se passer si un malheur devait arriver à George : « est-ce que vous et le docteur Bradley allez pratiquer une nouvelle fois une de ces autopsies dont vous avez le secret ? »

L’insolence du jeune médecin provoque la colère du Dr Morton.  Michael dit qu’il entend faire éclater au grand jour la vérité sur l’autopsie de Catherine Harrington.


Rodney et Betty sortent de la décapotable pour se rendre chez les Mackenzie. Julie reste avec Constance. Rodney demande poliment à Betty s’il peut faire quelque chose pour elle.

Allison parle un peu avec Betty. Mais elle doit se rendre à l’école. Rodney lui demande si elle veut qu’il l’emmène en voiture, mais Allison refuse. « Tu ferais mieux de rester avec Betty ».


Chez les Anderson, Julie et Betty ont une conversation à propos du baiser entre Julie et Leslie, surpris par Rodney à l’Usine. Betty lui demande s’ils se sont embrassés à d’autres reprises. « Non Betty, c’était la seule fois, tu peux me croire ».

Mais pour Betty, une fois suffit. Elle est froide vis-à-vis de sa mère et elle lui dit qu’elle a ruiné la vie de son père et la sienne en même temps. Julie refuse d’être blâmée pour ce qui s’est passé.


À l’hôpital, Michael rencontre le docteur Joe Bradley. Ce dernier lui demande si le docteur Morton sait qu’il est ici. En quête de la vérité, Michael se fait menaçant. 

Bradley tente d’appeler Morton, mais Michael ne lui en laisse pas le temps. Bradley somme Michael de partir. Michael revient sur l’autopsie et sur le fait que le docteur Shimmer ait été exclu de l’examen. 

La vie professionnelle de Michael est en jeu. Il se demande toujours pourquoi Bradley n’exerce plus la chirurgie depuis plusieurs années. Une fois Rossi partit, Bradley sort de son bureau, et informe l’infirmière qu’il doit voir le docteur Morton immédiatement.

Michael quitte le laboratoire. Le docteur Bradley se ressaisit, réfléchit puis finalement se rend au bureau des informations. L’infirmière de service est au téléphone. Quand elle raccroche, Bradley demande à voir le Dr Morton. L’infirmière lui dit qu’il est en réunion. Bradley insiste : « Dites-lui que c’est urgent. Je dois le voir maintenant. »

Bradley se fait tellement insistant que l’infirmière dérange le Dr Morton. Ce dernier vient voir Bradley. 

En privé, Joe Bradley dit au docteur Morton qu’il lui est très reconnaissant d’avoir sauvé sa carrière cinq ans plus tôt. Il a menti concernant l’autopsie de Catherine Harrington. Le diagnostic de Rossi était correct, Catherine est bel et bien morte d’un ulcère perforé. Le docteur Rossi le traque et Bradley a peur. Robert Morton regarde Joe Bradley. « C’est une chose étrange et difficile que vous avez faite là, Joe ». Morton était pourtant persuadé que l’autopsie lui donnerait raison. « Rentrez à la maison Joe. Je vous appellerai plus tard ».

Le docteur Morton se rend au bureau des informations et demande à l’infirmière de service de dire à qui le demande qu’elle ne sait pas où se trouve le docteur Bradley. Il ajoute : « c’est valable pour tout le monde : infirmières, docteurs, garçons de salle ».


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