Episode 25

Jeudi 10 décembre 1964

Le codicille 

Le Daylight local de Boston. Il transporte un avocat nommé Kennerly, dont l’arrivée à Peyton Place va apporter une révélation choquante à Leslie Harrington. 

Un train de cinq voitures s’arrête à Peyton Place. 


Maître Kennerly se précipite vers une cabine téléphonique, pose son attaché-case à terre, et appelle les Harrington. Il se présente à Christine et lui demande de dire à Maître Dowell d’attendre son arrivée avant de lire le testament de Catherine.

La lecture du testament a déjà commencé, aussi Christine murmure ce que Kennerly a dit à l’oreille de Leslie. Ce dernier se lève et marche vers Ted Dowell afin de répéter le message de Kennerly. Dowell demande s’il doit s’interrompre et attendre Kennerly. Leslie lui fait cependant signe de continuer.

Les dispositions prises par Catherine sont les suivantes :

Christine Gordon, la servante, 1000 dollars. Robert Morton, non seulement le co-exécuteur testamentaire, mais aussi un ami et le médecin de famille : 15 % de tous les dividendes perçus sur les recettes de l’usine, et qui devront être reversés à l’hôpital. Rodney et Norman Harrington se partagent équitablement les actifs cash de l’usine, dont l’argent sera administré jusqu’à leur 25e anniversaire par Matthew Swain, second co-exécuteur testamentaire, s’il est d’accord. À Laura Brooks, sa belle-sœur, elle lègue tous ses vêtements, à l’exception de ses fourrures et ses bijoux. Enfin, à Leslie Harrington, la jouissance totale de l’usine Peyton.

Leslie remercie Maître Theodore Dowell pour la lecture du testament. Il offre à boire à tout le monde. Mais Laura se prépare à partir. Elle dit à Leslie de ne pas se tracasser pour les vêtements. Elle a toujours été consciente que Catherine ne l’aimait pas.

Lorsque Matthew lui demande quels sont ses projets immédiats, Leslie n’a qu’un seul mot : le travail.

L’avocat arrive au manoir et se présente comme Maître William Kennerly, de Boston. Il apporte un codicille au testament. L’inquiétude se peint sur le visage de Leslie. Avant de venir au manoir, Kennerly est passé voir Martin Peyton à la clinique de Boston. Il annonce à Leslie que le codicille stipule que la jouissance de l’Usine revient entièrement à Martin Peyton. Leslie se retrouve donc sans rien… et déshérité. Il avait raison de s’en faire.


George est au téléphone et passe un appel professionnel. Il vient de perdre un client, monsieur Giles. Il raccroche et parle avec Julie, devenue sa secrétaire. Il est très nerveux.

Le téléphone sonne une nouvelle fois et Julie répond. C’est Fred Gardner qui est au bout du fil. Julie passe le téléphone à George.


Au magasin d’équipements de bateaux, Eli réalise une vente de 400 dollars à un homme prénommé Dan. Matthew entre et parle à Eli de son fils Elliot, et notamment où ce dernier entend vivre une fois qu’il sera sorti de prison. Eli suppose qu’il reprendra le magasin. 

Elliot s’était engagé dans la marine et a survécu à un naufrage. La famille Carson s’est toujours consacrée au commerce maritime. La droguerie propose toutes sortes d’objets et matériels dédiés aux bateaux.

Eli s’inquiète de savoir ce que Matt va dire à l’audience. Matt laisse la question en suspens.


George sort du bâtiment abritant sa nouvelle agence, la Bank Building, connu aussi pour abriter la Chambre de Commerce. Il rencontre sa fille, Betty. Il lui demande pourquoi elle n’est pas à la lecture du testament. « Sans doute parce que je ne fais pas vraiment partie de la famille », explique-t-elle.

Elle monte voir Julie à l’agence d’assurances. Betty dit à sa mère que Rodney lui a proposé de lui verser une somme d’argent de son héritage en échange d’un divorce. Julie conseille à Betty de ne pas jeter sa vie en l’air.


À la librairie, Matthew s’entretient avec Allison, qui aide sa mère. Constance descend les escaliers et se mêle à la conversation. À Matthew, elle dit qu’elle ne souhaite pas du tout le retour d’Elliot à Peyton Place. Allison pense qu’Elliot est bien le meurtrier de sa femme. Constance lui répond qu’il ne l’est peut-être pas. 

Allison lui demande si elle connaissait bien Elliot. « Bien sûr, il a grandi à Peyton Place », lui répond Constance. Mais elle semble embarrassée et reste évasive sur le sujet. 

Allison lui dit qu’elle espère le retour d’Elliot à Peyton Place, ce serait tellement excitant d’avoir un meurtrier en ville !  


À la maison de la plage, Michael divertit Constance par des plaisanteries. Ensuite, il parle du cottage et dit qu’il s’y sent vraiment bien. 

Cependant, Constance lui rappelle qu’Elliot voudra certainement le reprendre si jamais il sort de prison. Mais Michael a également d’autres soucis en tête, et il se demande combien de temps il lui reste avant de fermer le cabinet. 

Constance tente de le rassurer en lui disant qu’un beau jour, il devrait pouvoir à nouveau exercer à l’hôpital. Michael souhaite vraiment s’intégrer à Peyton Place et connaître ses patients. Mais l’espoir s’amenuise. Michael, se sentant très proche de Constance, lui demande ce qu’elle ressent pour lui. « Dites-le-moi », dit-il. Ils s’embrassent.


Plan extérieur de la prison d’État. À l’intérieur, Elliot est ennuyé par son compagnon de cellule. Elliot le saisit par le cou. « Ose dire encore un seul mot, et je te brise le cou ».


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s