Episode 153

Jeudi 9 décembre 1965

Un dîner avec Martin Peyton (première partie)

Lola Albright remplace Dorothy Malone pour quelques épisodes dans le rôle de Constance Mackenzie. 

Constance Mackenzie Carson a élevé seule sa fille, Allison, la protégeant, la guidant. Il y a quelques jours, Allison a été heurtée par une voiture qui a pris la fuite et depuis, l’hôpital est devenu un endroit de tristesse quotidien pour Constance. Ce soir, Constance traverse le même couloir. Mais aujourd’hui, la tristesse fait place à l’espoir. 

Entrée principale de l’hôpital de Peyton Place. 


Constance va voir Michael Rossi qui lui dit qu’Allison est endormie. Il lui raconte qu’Allison était réveillée pour un court laps de temps cet après-midi. 

Rossi demande si elle a parlé avec elle. Constance secoue la tête : 

— Non. 

Elle décide de rester et attendre qu’elle se réveille.


À l’auberge, dans la chambre de Steven, Leslie parle avec l’avocat de Stella et du détective que l’avocat a engagé à Los Angeles pour enquêter sur son passé. 

Steven lui fait savoir que c’est un bon détective. Il avait déjà travaillé avec lui lorsqu’il était chez Wainwright et Kennerly. 

Rodney écoute la conversation tout en regardant par la fenêtre. Lorsqu’il entend Steven dire que l’hôpital a demandé à Betty de démissionner en raison du dossier qu’elle a dérobé, il se met en colère, car l’avocat n’a pas jugé utile de lui en parler.  

C’est le détective Lawrence qui appelle de Californie. Il informe Steven que Stella a travaillé à Oakland et à Westover ainsi qu’à San Diego. Steven insiste auprès de Lawrence pour qu’il déterre un passé peu glorieux chez Stella.


Stella se promène sur le quai et entre dans la Taverne. Elle veut savoir si son père est ici. Ada lui répond qu’il y a quatre autres bars dans la ville. 

En sortant, Stella parle avec Rita, qui lave les vitres de la Taverne. Ada sort de la Taverne et répète à Stella qu’il y a quatre autres bars dans la ville. C’est une façon de lui dire qu’elle n’est pas la bienvenue ici. 

Stella s’apprête à partir et dit à Rita qu’elle ferait mieux d’abandonner sa tâche ménagère : les vitres étaient plus propres avant. 

Rita demande à Stella si elle sait pourquoi Joe a volé la voiture qui l’a conduit tout droit en maison de correction. 

— Il voulait aller en Californie pour te voir, l’informe Rita. Il pensait que tu allais lui envoyer un billet d’avion, il n’avait qu’un seul espoir, c’était que quitter cette ville pour vivre une nouvelle vie avec toi, il t’aimait Stella !  

Stella répond que Joe n’aimait personne, puis s’en va. 

Norman arrive et demande à Rita si elle va bien. Rita ne répond pas et entre dans la Taverne. Norman la suit à l’intérieur. 

Rita lui dit qu’elle a décidé d’aller voir Fowler pour lui raconter qu’elle n’a pas vu Joe le jour de sa mort. 

Norman lui conseille de ne pas faire une chose pareille. Il s’agit d’un mensonge. D’un parjure. Et c’est grave. 


Chez les Chernak, Stella est en train de lire lorsque Gus entre. Il la salue. Gus demande où est Anna. Stella l’informe qu’elle est à l’église. 

Stella s’assoit en face de Gus pendant qu’il mange. Gus lui dit que Peyton est de retour parce qu’il a peur de l’issue du procès. Stella lui demande de ne pas accepter d’arrangement financier. 


À l’extérieur de l’auberge, Leslie dit à Rodney qu’il ferait mieux d’y aller parce que Peyton n’aime pas attendre. 

Betty sort de la station de bus. Elle revient de Boston. Leslie offre à Betty de l’aider à trouver un job. Betty n’aime pas la condescendance de Leslie et le fait savoir au ton de sa voix. 

Une fois Leslie parti, Rodney reproche à Betty d’avoir rabroué son père, il n’essayait que de l’aider pour ce qu’elle a fait et qui lui a couté son poste. 


Chez les Anderson, Julie est en train de coudre dans le salon lorsque Betty entre. 

Julie lui demande si elle a réussi à décrocher un job à la clinique ou à l’hôpital universitaire de Boston. Betty fait non de la tête. Elle déteste le métier d’infirmière. Elle se remémore encore les remarques déplacées que lui faisait mademoiselle Choate. 

Elle a réussi à décrocher trois réponses positives, mais elle les a toutes refusées. Julie pense qu’elle a été un peu vite à prendre une décision. 

Betty s’énerve après sa mère et lui dit qu’elle est comme elle, ambitieuse. Julie lui dit que ce qu’elle a toujours voulu est d’une petite vie tranquille et sécurisante. 

— C’est pour ça que tu as épousé papa ?

— J’aimais ton père, plaide Julie. 

— Jusqu’à monsieur Harrington. 

— C’est un coup bas, Betty. 

— Des mots vides de sens. Tu aimes monsieur Harrington parce qu’il a réussi. Je ne te blâme pas. Alors arrête de prétendre le contraire.


Dans sa chambre d’hôpital, Allison parle doucement à Constance et lui demande depuis combien de temps elle est ici. Constance lui dit la vérité : presque trois semaines. 

Allison lui demande ce qui s’est passé. Le Dr Rossi lui a juste dit qu’elle a eu un accident. Elle dit qu’elle ne peut pas bouger son bras. Constance lui conseille de se reposer. 

Elliot frappe et entre, portant un gros bouquet de fleurs. 

— Salut Allison. 

Allison sourit : 

— Bonjour, monsieur Carson. C’est très gentil à vous de venir me voir. 

Le sourire d’Elliot s’efface. Il est choqué parce qu’Allison ne le reconnaît pas. Il cache cependant son trouble et fixe Constance dans les yeux en essayant d’y trouver une réponse.  

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