Episode 125

Jeudi 7 octobre 1965

L’enterrement

Ce matin, Gus Chernak a enterré son fils. Pratiquement à l’ombre de la fabrique Peyton, qui a dominé la vie entière de Gus et de sa famille. Plus les jours passent, et plus la douleur d’avoir perdu son fils se transforme en fureur. 

Gus longe le quai pour se rendre à l’usine Peyton. 


Gus se rend à la fabrique et parle avec Julie Anderson. Elle a une photo de Betty posée sur sa table. Il lui demande de prendre le téléphone, de composer le 214 et de lui donner une avance sur salaire. 

Elle appelle donc le numéro en question qui s’avère être le service comptabilité et qui accorde l’avance. Gus lui dit que Leslie l’a détruit et son fils a détruit la vie de son fils à lui. 

Schuster arrive et demande à Gus de quelle façon il peut l’aider. Gus lui répond que Julie s’est déjà occupée de lui. 

Schuster demande à Julie de venir dans son bureau et se plaint que Peyton veut recevoir un rapport par courrier le plus tôt possible. 

Le téléphone sonne. Julie répond. C’est Leslie Harrington. Leslie voudrait la voir ce soir après son travail. Elle accepte. Puis elle raccroche et Schuster lui demande si c’était bien Leslie qui était au bout du fil. Elle acquiesce en précisant qu’il s’agissait d’un appel personnel. 


Plan de la boîte aux lettres des Harrington, près des escaliers menant à l’appartement, sur Glover Street. Leslie monte les escaliers et Norman le fait entrer. 

Le jeune homme souhaite la bienvenue à son père dans leur humble demeure. L’appartement est en désordre. Norman va s’efforcer de le nettoyer. Leslie rappelle que c’est l’ancien appartement de Paul Hanley. 

Leslie n’est pas venu ici pour être hébergé. Il a déjà réservé une chambre à l’auberge. Ils tentent maladroitement de parler du passé, Leslie lui dit qu’ils ne se sont pas parlé avant son départ en Europe. 

Leslie lui dit qu’il a échoué en tant que père. Il demande à son fils s’il croit toujours qu’il a menti en disant que Catherine était la coupable du meurtre d’Elizabeth. 

— Te croire me fait peur, et ne pas te croire me fait tout aussi peur, avoue Norman. 

L’abcès est crevé et Norman l’invite à rester pour déjeuner. 


Steven se rend à la Taverne pour parler avec Ada. Deux clients fidèles viennent de partir. Le juke-box est en route. Ada lit le journal derrière son comptoir. 

Elle lui demande ce qu’il veut boire. Steven n’est pas ici pour boire, mais pour lui poser quelques questions au sujet de Joe. 

Ada lui dit qu’elle aimerait beaucoup partir un mois en vacances. Steven lui fait savoir que lorsque débutera le procès, elle et Rita seront appelées à comparaître et à témoigner en public. Ada lui dit que Stella était à la Taverne le soir où Joe a été tué. 

Rita se montre et salue Steven. Puis l’avocat s’en va, voyant qu’Ada ne veut pas qu’il parle avec Rita. 

Ada dit à nouveau à Rita qu’elles ne devraient pas s’impliquer avec les Harrington, car c’est une source de problèmes pour elles. 

Elle a prévu de partir avec elle en vacances pour quelques semaines, financièrement elles peuvent se le permettre, mais Rita lui rappelle qu’elle a un travail. 

Le téléphone sonne. Ada va répondre tandis que Rita s’éclipse. Ada raccroche le téléphone, perplexe. Il n’y avait personne au bout du fil. 


Stella se promène sur le quai, habillée en noir. Le Révérend Jerry Bedford l’appelle depuis le Chowder Pot. 

Stella ne savait pas que Jerry était revenu en ville. Ils se connaissent bien. Stella et lui étaient à l’école ensemble. Elle ignorait qu’il était devenu révérend. 

Il l’invite à boire un café. Il commande donc deux cafés à Frank, le patron. Tout en sirotant la boisson, ils parlent tranquillement. Stella lui dit qu’elle croit en la justice et qu’elle fera tout pour que son frère soit vengé. 

Jerry lui répond que la justice n’est pas suffisante pour apaiser une âme meurtrie. Elle le remercie pour le café et s’en va. 


Le Dr Rossi se rend chez les Chernak et frappe à la porte d’entrée. Comme il n’y a personne, il écrit une note puis voit Stella s’approcher. Il l’appelle. 

Elle l’invite à entrer. Il est venu lui apporter de bonnes nouvelles. On lui a alloué l’argent pour son labo de recherche. 

Il lui demande quel était son véritable job sur la côte ouest. Elle reste évasive en disant que c’était presque des vacances pour elle. 

Il voudrait qu’elle soit son assistante. Elle lui offre un café crème. Stella avoue qu’elle n’a pas encore décidé de rester ou de repartir. 

Le téléphone sonne et Stella répond. C’est John Fowler qui lui demande de venir quand elle peut pour faire une déposition. Il voudrait qu’elle vienne le plus vite possible. Elle lui répond qu’elle viendra plus tard dans la journée. 

Michael réitère sa proposition d’offrir un emploi à Stella à l’hôpital et finalement elle accepte. Michael la remercie. En partant, le médecin lui demande s’il peut la déposer quelque part et elle lui répond qu’il pourrait l’emmener au poste de police.  


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