Episode 44

Mardi 16 février 1965 

Une lettre de Catherine 

C’est une soirée bien perturbante pour Constance Mackenzie et Elliot Carson. Pour Allison aussi, la soirée est inhabituelle.

Elliot brise le cadre de la photo de M. Mackenzie. Constance entend la voiture de Paul dans la rue. Elle ramasse les morceaux de verre du cadre.


Paul reconduit Allison chez elle dans sa voiture de sport anglaise. Elle le remercie de l’avoir raccompagnée. Lui s’excuse pour les remarques qu’il a formulées au cours de la soirée. Notamment avec Rodney. « Le monde est rempli de Rodney Harrington », dit-il.

Allison sort de la voiture et rentre chez elle. Elliot sort de la maison au même moment et interpelle Paul. Il lui demande de l’emmener jusqu’au square.

Constance et Allison discutent de Paul et Elliot. Allison est surprise qu’Elliot demande à Paul de l’emmener, car elle sait qu’il n’aime pas le jeune homme.

Elliot demande à Paul pourquoi il a ramené Allison à la maison. Paul répond à Elliot par une autre question : que faisait-il chez Constance ? 

Elliot lui rappelle qu’Allison n’a que 18 ans. « Le même âge que vous aviez lorsque vous étiez avec Constance », lui rappelle Paul. Ce dernier l’agace en rajoutant que le chiffre 18 est un numéro magique à Peyton Place, lui rappelant ainsi qu’il est resté 18 ans en prison, que sa sœur est morte il y a 18 ans, et que Constance est veuve depuis 18 ans. 

Elliot le saisit par le col et lui demande de laisser Allison tranquille. « Lâchez-moi », lui crie Paul.

Paul gare la voiture près du square et laisse Elliot partir.


Allison et Constance poursuivent leur conversation. Allison dit à sa mère qu’elle commence à mieux la comprendre. 

En faisant référence à Elliot, elle lui dit : « Je pense qu’il ne t’intéresse pas sentimentalement, mais il t’intéresse quand même ».  Elle ajoute que Constance a toujours eu à cœur de cacher ses sentiments. 

Allison avise la photo de Mr Mackenzie que Constance a remis en place sur la cheminée avant qu’elle ne rentre et demande ce qui est arrivé au cadre. Constance lui ment en disant qu’elle l’a cassé en faisant le ménage. 

Allison ne veut pas qu’il arrive malheur à cette photo. Si elle venait à être perdue, c’est comme si son père n’avait jamais existé.  

Elles continuent à parler de choses et d’autres, en faisant notamment référence à la grand-mère d’Allison, Mme Swain. Allison pense lui ressembler. 


Au Peyton Place square, Allison marche jusqu’au canon et, apercevant son oncle Matt, se précipite vers lui. Elle lui demande de lui offrir un chocolat chaud, mais il refuse : « une fille ne peut pas toujours avoir de la chance », plaisante-t-il.

La pharmacie de Peyton Place tient également lieu de salon de thé et l’on peut y commander des boissons. Allison s’y rend seule et elle commande une tasse de chocolat. Elle demande à M. Hanley où est passé le serveur de soda, et il lui répond qu’il l’a renvoyé parce qu’il n’arrêtait pas de flirter avec les clientes.

Betty entre et Allison lui demande de se joindre à elle. Betty hésite, puis finalement, sur l’insistance d’Allison, accepte. Elle commande un café. Allison lui dit qu’elle est contente de la savoir de retour à Peyton Place. 

Betty lui dit qu’elle va signer les papiers d’annulation de son mariage, et ainsi Rodney sera libre. Elle pense à la relation qu’entretenaient Allison et Rodney. La fille de Constance saisit l’allusion, mais préfère dire à Betty que Rodney ne s’était intéressé à elle que parce qu’elle représentait la pureté. 

Allison lui offre le café, puis toutes les deux partent, tandis que Calvin nettoie son comptoir.

À l’extérieur de la pharmacie, Allison rencontre Paul, son professeur d’anglais et elle le présente à Betty. Allison plaisante en lui demandant s’il compte poser des questions cauchemardesques à ses élèves. « Ravi d’avoir fait votre connaissance », dit-il à Betty en guise de conclusion, avant d’entrer à l’intérieur de la pharmacie de son père.

Retour à l’intérieur de la pharmacie. Calvin fronce les sourcils en voyant arriver Paul. Ce dernier tourne le panneau « ouvert » sur la porte d’entrée et descend l’abat-jour. 

Il demande à son père de l’aider. Il veut qu’il lui donne une boite de tranquillisants. Cependant, son père lui fait savoir qu’il a besoin d’une ordonnance du médecin pour de tels médicaments. 

En guise de remplacement, il lui donne une boite d’aspirine. Paul revient sur le meurtre d’Elizabeth. Il dit à son père qu’il l’a poussé à faire un faux témoignage lors du procès d’Elliot Carson. Mais selon Calvin, Paul a dit la stricte vérité. Paul retourne le panneau « fermé » et sort de la pharmacie.


À l’hôpital, Michael discute avec un infirmier à propos d’une patiente, madame Kramer, lorsqu’Elliot débarque dans son bureau afin de lui demander quand Eli pourra rentrer à la maison. 

Michael lui dit que le climat froid du Massachusetts ne convient plus à Eli. Cela pourrait être mauvais pour son cœur. Il lui faut un climat beaucoup plus chaud, et le plus vite possible. 

Elliot se souvient que son père a un cousin qui habite en Floride. Il pourra peut-être l’héberger. Il dit aussi qu’il a d’autres parents sur la Côte d’Azur, en France, mais il n’a pas d’argent pour lui payer le voyage.


À l’Usine Peyton, Leslie est au téléphone avec son avocat, Maître Theodore Dowell. 

Leslie ne veut pas le divorce pour Rodney, mais l’annulation pure et simple du mariage. 

Matthew arrive alors au bureau afin de lui parler du testament de Catherine, rappelant qu’il est l’exécuteur testamentaire. La dernière volonté de Catherine était que l’Usine revienne à Martin Peyton, son père. Il voudrait savoir si Leslie compte aller jusqu’au procès pour déclarer le codicille nul. 

L’interphone sonne et la secrétaire prévient Leslie que l’avocat Wainwright est ici. Matthew s’en va tandis que Wainwright entre. 

Il apporte une vieille lettre à l’attention de Martin Peyton, signée de Catherine et qui explique les raisons pour lesquelles elle a décidé de changer son testament. 

Dans cette lettre, Catherine évoque l’éventualité d’une relation amoureuse entre Leslie et Julie. Elle fait aussi référence à la liaison qu’avait entretenue son mari avec Elizabeth Carson, 18 ans plus tôt.

Si Leslie veut contester le codicille, alors cette lettre sera rendue publique.


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