Episode 155

Mardi 14 décembre 1965

Amnésie

Martin Peyton est revenu à Peyton Place. Il a repris sa maison. Et il a commencé à manipuler la vie des gens autour de lui. Ce soir, il a invité son petit-fils, Rodney Harrington, à dîner. Rodney Harrington, qui est en procès pour meurtre, doit maintenant faire face à un autre procès dans cette maison. 

Rodney est assis à la table du dîner. Hannah entre et allume les bougies. Peyton entre dans la pièce sur son fauteuil roulant.


Peyton et Rodney dînent dans la salle à manger du manoir. Ils parlent de Catherine, et Martin informe son petit-fils qu’il a été visité sa pierre tombale aujourd’hui. 

Il lui dit que Catherine était solitaire et qu’elle est morte dans le tourment le plus total, par la faute de Leslie. Elle est morte des infidélités de Leslie. 

Rodney prend la défense de son père en racontant que Catherine est morte sur la table d’opération d’une péritonite. Ce n’était pas la faute de son père. Peyton fixe le regard de Rodney : 

— De quoi as-tu peur ? 

Il lui dit que le véritable nom respectable dans cette ville est celui de Peyton. Le vieil homme explose : 

— La fabrique est à moi, le manoir est à moi, et cette ville est à moi ! 

Peyton veut Rodney de son côté. Il veut que son petit-fils prenne parti pour lui et le lui fait clairement comprendre.


Leslie prévient Norman à propos du jeu dangereux auquel joue Martin Peyton. Il a peur que le vieil homme régente la vie de son fils et lui inculque ses propres opinions. 

Leslie dit à son fils qu’il a profondément aimé Catherine. Il ne veut pas que Norman joue le jeu du vieil homme. 

— Martin Peyton était le roi et Catherine était sa petite princesse gâtée. 

Catherine l’appelait parfois à la fabrique pour lui demander de rentrer. Elle se sentait très seule. Alors il rentrait, mais il ne voyait pas Catherine, car elle prétextait avoir des maux de tête. 


Elliot est sur les marches du tribunal lorsque John Fowler se dirige vers lui. Le procureur demande des nouvelles d’Allison. Il voudrait lui parler. 

— Je ne sais pas. Il faudrait la permission du Dr Rossi. 

Elliot prend congé de Fowler et se dirige vers le Clarion tandis que John entre dans le palais de justice. 


Rodney s’apprête à entrer dans la chambre d’Allison, mais il est stoppé par Gehring qui lui interdit d’entrer. Rodney fronce les sourcils : 

— Quelque chose ne va pas avec Allison ? 

Gehring lui suggère d’aller parler au Dr Rossi. Il se trouve en radiologie. 

Gehring entre dans la chambre d’Allison et demande à la jeune fille comment elle se sent. Elle lui demande s’il est médecin. Il se présente et lui fait savoir qu’il est thérapeute physique. Il la remercie pour le livre d’Anderson et Grimm que Constance lui a donné. 

Rodney se rend en radiologie et demande à Michael pourquoi il ne peut pas voir Allison. Michael lui explique la situation. Allison a oublié une partie de ses souvenirs. 

Averti par le médecin, Rodney est autorisé à voir Allison. Il va lui parler. 


Phyllis Sloan se trouve à Peyton Place. Elle gare son imposante voiture devant le palais de justice. Elle vient voir son beau-frère, John Fowler pour lui dire qu’elle s’inquiète au sujet de Marian. Elle veut savoir où se trouve sa sœur. 

John lui donne d’évasives réponses du style : 

— Où qu’elle soit, je suis sûr qu’elle va bien. 

Phyllis évoque l’appel de Gehring, puis s’en va. Cela suffit à John pour émettre des hypothèses sur la relation entre Marian et Gehring. 

Il appelle le sergent Goddard dans son bureau. Il demande au policier d’enquêter sur Russ Gehring qui travaille en tant que thérapeute à l’hôpital de Peyton Place.


Hannah Cord fait entrer Elliot à l’intérieur du manoir et le présente à Peyton. Mais Martin connaît déjà Elliot. Il invite le journaliste à s’asseoir. 

Elliot va droit au but en lui demandant la véritable raison de son retour à Peyton Place. Il lui répond qu’il est ici pour construire un mémorial dédié à sa fille. 

Puis Elliot lui parle de la prochaine automatisation de la fabrique. 

Martin en vient à lui parler de la première femme d’Elliot, Elizabeth. Puis il demande des nouvelles de Constance. 

Peyton lui dit qu’il a une déclaration à faire au journal. Il veut répéter sa ferme conviction que Catherine n’a pas tué Elizabeth. Peyton lui dit qu’on ne construit pas de monuments pour les meurtriers. 

Pour Martin, il ne fait aucun doute que c’est Leslie le vrai coupable du meurtre. 

Elliot ne rentre pas dans son jeu, il dit à Martin qu’il est un journaliste intègre et qu’il ne va pas écrire d’article à propos de la prétendue culpabilité d’un homme. Il réitère sa question : 

— Pourquoi êtes-vous revenu à Peyton Place ? 

Pour toute réponse, Martin le fixe méchamment des yeux. Elliot s’en va. 


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